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Mobilisons-nous tous ensemble pour rétablir un dialogue social humain !

– Les maquettes ne sont plus adaptées ni aux besoins des patients qui sont les mêmes du lundi matin au dimanche soir, ni à l’intensification du travail due au manque de personnel.
– Le mode de travail est ultra dégradé ce qui entraine une perte d’humanité, de qualité et de sécurité des soins, une fatigue accrue des professionnels en poste.
– Les professionnels sont contraints d’avoir recours de plus en plus à l’arrêt maladie pour pouvoir se reposer et faire baisser la pression qui leur est imposée.
– L’absentéisme ne doit plus être remplacé à 60% mais bien au-delà compte tenu des besoins des patients
– Des fermetures des lits au pied levé qui ne permettent pas d’anticiper pour sécuriser les équipes. Cette méthode impose aux cadres de santé de cumuler des heures supplémentaires. Certains se sentent contraints de travailler à domicile après leur journée de travail.
– Les fermetures de services et donc d’offres de soins qui sont portées à notre connaissance via des notes de services sans aucune explication.
– La démultiplication des horaires dérogatoires en 10 heures et 12 heures. Les agents qui n’y adhèrent pas sont priés de quitter les services
– Ces modes de gestions créent une fuite des professionnels de nuit qui ne souhaitent pas tous travailler en 12h.
– Les alternances jour / nuit deviennent la norme
– Les soignants, les professionnels de la recherche, de la logistique et les administratifs n’ont pratiquement plus accès à la formation continue pour assurer la continuité de service
– Dans le cadre de l’hôpital île de Nantes : on demande à certains agents d’envisager dès maintenant une reconversion professionnelle. « Vous ne pourrez pas tous y aller ».
– Pas d’espoir de reclassement pour les agents qui suivent un PPR.
– Un grand plan de suppression de postes se prépare y compris dans le domaine de la recherche qui manque cruellement de crédits. Les missions des chercheurs sont restreintes.

Les agents ne se sentent plus en sécurité pour venir travailler, ils ressentent du mépris, leur investissement pour services rendus n’est pas reconnu à la hauteur des sacrifices.
Pour toutes ces raisons, nous constatons une perte de la relation de confiance entre la direction du CHU qui est en dehors des réalités des besoins des patients et des professionnels.

L’équipe Acteurs Santé du CHU de NANTES

 

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